Ethylotests chimiques, électroniques, infrarouges : fonctionnement, limites et utilisation
Partager :Salut à tous ! Aujourd’hui, on va parler d’un sujet qui concerne un peu tout le monde : les éthylotests. Vous savez, ces petits appareils qui permettent de savoir si vous êtes en état d’ébriété au volant. Si vous êtes comme la plupart des gens, vous avez sûrement déjà dû en utiliser un, ou du moins, vous en avez entendu parler.
Mais saviez-vous que l’histoire des éthylotests est riche et fascinante ? Et saviez-vous qu’il y a plusieurs types d’éthylotests, chacun avec ses propres avantages et inconvénients ? Dans cet article, on va plonger dans l’univers des éthylotests et voir ce qu’il faut savoir à leur sujet.
Alors, prêts à en apprendre plus sur ces petits appareils qui nous aident à rester en sécurité sur les routes ? Allons-y !
L’éthylotest : histoire et avancée technologique
Bienvenue dans l’univers passionnant des éthylotests ! Si vous êtes comme la plupart des gens, vous avez sûrement déjà eu l’occasion de vous en servir un, ou du moins, vous en avez entendu parler. Mais saviez-vous que l’histoire des éthylotests remonte à plus de 80 ans ? C’est vrai ! En effet, les premiers éthylotests ont été inventés dans les années 1930, et depuis, ils ont énormément évolué.
Tout a commencé dans les années 1930, lorsque les premiers éthylotests ont été inventés. A l’époque, les gens ne prenaient pas encore la conduite en état d’ébriété au sérieux, et il n’y avait pas de limite légale en matière de taux d’alcool au volant. Cela a changé en 1953, lorsque les premières recherches du taux d’alcool dans le sang lors d’un accident de voiture. Ce sera en 1965 que les premiers éthylotests apparaîtront en France et ce n’est qu’en 1970 qu’une première loi (du 9 juillet 1970) permettra de sanctionner la conduite sous l’empire de l’alcool.
Au fil des années, les éthylotests ont énormément évolué. Les premiers éthylotests étaient chimiques, et utilisaient des réactions chimiques pour détecter la présence d’alcool dans l’air expiré. Ces éthylotests étaient relativement simples à utiliser, mais ils n’étaient pas toujours très précis. Dans les années 1980, des règlementations drastiques sont prises par la DSCR (Direction de la Sécurité et de la Circulation Routière) abaissant une quantité maximale d’alcool par litre d’air expiré de 0,40 et de 0,80 gramme par litre de sang. C’est ainsi que des éthylotests électroniques ont été mis au point, qui utilisaient des capteurs pour mesurer le taux d’alcool dans l’air expiré. Ces éthylotests permettaient de donner le taux d’alcoolémie exact, mais ils étaient aussi plus coûteux.
En 1995, le 15 septembre, le seuil d’alcoolémie se voit réduit une nouvelle fois pour atteindre les 0.5g/l de sang que nous connaissons aujourd’hui.
Par la suite, dans les années 2000, des éthylotests à infrarouge ont été introduits sur le marché, qui utilisaient un faisceau d’infrarouges pour mesurer le taux d’alcool dans l’air expiré.
Enfin, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a recommandé aux pays de fixer une limite légale de 0,5 g/L en matière de conduite en état d’ébriété. A partir de là, de nombreux pays ont suivi cette recommandation, et les éthylotests ont commencé à être utilisés de manière plus répandue.
Les différents types d’éthylotests
Aujourd’hui, il existe plusieurs types d’éthylotests, chacun avec ses propres avantages et inconvénients. Il y a les éthylotests chimiques, qui utilisent des réactions chimiques pour détecter la présence d’alcool dans l’air expiré. Il y a aussi les éthylotests électroniques, qui utilisent des capteurs pour mesurer le taux d’alcool dans l’air expiré. Et enfin, il y a les éthylotests à infrarouge, qui utilisent un faisceau d’infrarouges pour mesurer le taux d’alcool dans l’air expiré.
Comment fonctionnent les éthylotests ?
Mais comment ces éthylotests fonctionnent-ils exactement ? Et comment sont-ils utilisés ? Ne vous inquiétez pas, on va tout vous expliquer ! Tout d’abord, il est important de savoir que chaque type d’éthylotest a ses propres instructions d’utilisation. En général, voici comment ça se passe : vous soufflez dans l’appareil, et celui-ci mesure le taux d’alcool dans votre air expiré. Si votre taux d’alcool est inférieur à la limite légale (0,5 g/L en France), l’appareil vous donnera un résultat négatif. Si votre taux d’alcool est supérieur à la limite légale, l’appareil vous donnera un résultat positif.
Il est important de noter que chaque pays a sa propre limite légale en matière de conduite en état d’ébriété. En France, la limite légale est de 0,5 g/L. Mais dans d’autres pays, cette limite peut être différente. Par exemple, aux États-Unis, la limite légale varie d’un état à l’autre, mais elle est généralement comprise entre 0,08 et 0,10 g/L.
Les limites des éthylotests
Il est évident que les éthylotests sont un outil important pour assurer la sécurité sur les routes. Ils nous permettent de savoir si nous sommes en état de conduire de manière responsable, et nous empêchent de prendre des risques inutiles. Cependant, il est important de noter que les éthylotests ne sont pas infaillibles. Il arrive parfois qu’ils donnent de faux résultats, que ce soit en étant positifs alors que l’on est en dessous de la limite légale, ou en étant négatifs alors que l’on est au-dessus de la limite. Cela peut arriver pour plusieurs raisons, comme la présence de certains médicaments dans l’organisme, ou encore le fait de prendre du bain de bouche avant un test.
Il est donc important de toujours utiliser les éthylotests avec prudence, et de ne pas se fier uniquement à leur résultat. Si vous avez l’impression d’avoir trop bu, même si votre éthylotest vous donne un résultat négatif, il vaut mieux être sûr et ne pas prendre le volant. De même, il est important de suivre les instructions d’utilisation de l’appareil, et de vérifier régulièrement qu’il fonctionne correctement.
Et voilà ! Nous en arrivons à la fin de notre article sur les éthylotests. Nous espérons que vous avez trouvé ces informations utiles et intéressantes. N’oubliez pas que l’alcool au volant peut avoir des conséquences graves et que les éthylotests sont là pour nous protéger, nous et les autres. Alors, si vous prenez le volant, n’oubliez pas de vous tester avant de mettre le moteur en marche. Et surtout, conduisez en toute sécurité !
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